L’ensemble des arbres de la commune bénéficient d’un suivi constant. Il arrive que certains arbres, comme les « prunus » avenue ville de Saint-Louis, doivent être abattus. Ce travail est validé par les élus et réalisé par les élagueurs du service espaces verts qui en a la compétence.
Le remplacement des arbres coupés est à l’agenda du service espaces verts
Les services techniques de la ville de Lectoure procèdent depuis quelques semaines, comme prévu dans leur planning annuel, à l’abattage des arbres en fin de vie ou en très mauvais état et à leur remplacement. En effet, dans le souci d’entretenir convenablement l’environnement et la population d’arbres dont dispose la ville, la municipalité a adopté une politique volontariste « d’un arbre coupé, un arbre planté ». Pour chaque arbre abattu, un jeune arbre est replanté. Ce travail de rigueur est mené par les agents de la commune qui suivent le cahier des charges des villes et villages fleuris, Lectoure étant classée ville quatre fleurs depuis 2014, plus haute distinction du label. Cette distinction récompense les efforts des agents du servie Cadre de Vie qui travaillent, se forment, et s’adaptent à l’évolution de leur métier pour satisfaire les enjeux écologiques et environnementaux et aussi pour rendre la ville toujours plus esthétique.
Dans cette démarche, les élus ont pleinement confiance dans les services techniques
Pour replanter, le choix se porte sur des espèces locales, adaptées à la sécheresse pour mieux faire face au réchauffement climatique. Les services techniques collaborent depuis plusieurs années avec l’association Arbres et paysages (32), connue pour la promotion du rôle de l’arbre dans la sauvegarde et la restauration du paysage. À Lectoure, les arbres ne sont abattus qu’après épuisement de toutes les possibilités de survie.
Les arbres sont des organismes vivants complexes. Ils naissent, se reproduisent et meurent, comme toute vie. Il est connu que les arbres sont source de vie grâce à leur fonction essentielle de photosynthèse : ce sont des producteurs d’oxygène. Ils absorbent aussi le gaz carbonique de l’atmosphère par leurs stomates et stockent le carbone dans leurs tissus végétaux, c’est-à-dire dans leurs feuilles, leurs branches et dans leurs troncs. Il est évident que les arbres malades, fatigués voire en fin de vie ne remplissent plus correctement cette fonction de stockage du carbone. Leur remplacement est donc prudent et souhaitable.
Dans cette démarche, les élus ont pleinement confiance dans tous les agents des services techniques de la ville qui sont chargés de mener à bien cette politique.